Mon silence était dicté non pas par la prudence, mais par la réflexion, assortie d’une part de doute.
Je vois bien la distinction entre les congés, de maternité ou de paternité, et la charge que chacun des parents prend dans l’éducation des enfants, celle-ci pouvant évoluer. Je suis donc assez favorable à un partage des trimestres, mais il ne me paraît pas souhaitable de le figer, même si je comprends les raisons pour lesquelles cela nous est proposé. Je vous l’ai toutefois dit : je conserve ma part de doute. Je m’abstiendrai.