Dans certaines villes dotées de moyens suffisants, le maire pourra redistribuer les ressources entre les différentes structures sans supprimer d'emplois en faisant vivre l'animation socio-culturelle.
Nous reconnaissons l'existence d'inégalités ; nous ne souhaitons simplement pas que la réforme les accroisse encore.
Si les collectivités menaient une véritable concertation avec l'ensemble des structures éducatives, culturelles et sportives présentes sur leur territoire, l'emploi pourrait être préservé. C'est ce que nous appelons de nos voeux.