Ce constat incite à davantage de souplesse et de dérogations. Les maires butent sur la question des qualifications requises. Par exemple, des enseignants d'écoles de musique pour des ateliers d'éveil musical, des comédiens professionnels qui proposent des activités théâtrales, des responsables en communication proposant la création d'un journal dans le cadre des heures « Peillon » ne sont pas considérés comme des encadrants disposant des qualifications requises, le brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur (BAFA) et le brevet d'aptitude aux fonctions de directeur (BAFD). Or ces ateliers, animés par des personnels considérés comme non qualifiés au regard du BAFA ou du BAFD, présentent une vraie pertinence afin d'ouvrir de nouvelles perspectives aux enfants.