Je confirme que peu d'écoles catholiques ont mis en oeuvre la réforme, mais celle-ci progresse par capillarité. Ainsi en Mayenne, un tiers des écoles l'ont appliquée. Dans tel autre département, le taux est très faible. Est-ce le fruit de l'inertie, d'un manque d'intérêt ? Je pense plutôt que le retard est dû à la nécessité de prendre le temps d'une concertation locale, associant élus, enseignants, représentants de la paroisse, parents, pour que la communauté éducative fasse sienne la réforme.