Nous sommes au coeur du sujet. Les agences, c'est vrai, analysent deux types d'objets : des « animaux à quatre pattes » comme les entreprises, et des produits structurés. Après la crise, on les a obligées à différencier les notes de ces deux types d'objets, et à ajouter à celle des produits structurés les initiales « SF » (structured finance). Tout au contraire, il aurait fallu les mettre au défi de prouver que lorsqu'elles accordent un « AAA » à un produit titrisé, cette note a la même valeur que lorsqu'elle est appliquée à l'Allemagne ou à la Rabobank.