Si cette réforme est prioritaire, elle doit être accompagnée financièrement. M. Carle nous dit, quant à lui, que l'éducation n'est pas une dépense mais un investissement : en ce cas, nul besoin de réclamer des fonds ! Il nous demande aussi de faire confiance aux maires et à l'initiative locale. Pourquoi vouloir une loi, alors ?