Pour l'instant on peut tout à fait se contenter de la zone Pacifique. Le cadre se met en place, j'espère que l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) pourra finaliser les documents attendus dans les deux ans qui viennent.
En tant que petit acteur, je vois bien que d'autres pays avancent plus vite que nous, notamment le Canadien NORI. Les enjeux économiques sont tels que certains n'attendront pas que tous les documents soient prêts.
Si nous voulons tenir les engagements pris dans le cadre de la de la COP 21, nous aurons besoin des métaux critiques et des terres rares disponibles dans les grands fonds.