Le challenge auquel la DNEF est confrontée est son immense espace de travail. Avec 400 personnes, nous couvrons tout le territoire national, toutes les activités et tous les risques de fraude. Il est bien évident que l'on ne peut pas poster un agent face à chaque risque particulier de fraude. C'est bien par des moyens de détection à grande échelle que l'on pourra y arriver, y compris dans le traitement des données, d'ailleurs. Il faut mettre toutes les données dont nous disposons dans la machine, croiser les informations. Les autres pays font la même chose.