Lorsque nous recevons des réponses positives ! Une députée nous a ainsi permis, cette année, de visiter l'Assemblée nationale.
Nous pourrions également améliorer le bilan de ces stages. Il serait très pertinent de connaître les chiffres de la récidive.
Enfin, nous devons effectuer environ quarante demandes de subventions par an pour les stages judiciaires, puisque chaque stage nécessite plusieurs financeurs. Cela représente un travail administratif énorme, qui n'est pas pris en charge par les subventions publiques. Le coût restant nous oblige donc à trouver d'autres ressources, notamment en menant des actions dans le secteur privé.