a expliqué que l'application de la tarification à l'activité, qui permet de coder et d'intégrer le coût d'une infection nosocomiale, pourrait effectivement conduire à augmenter le « coût d'un patient ». Cet effet pervers est d'autant plus préoccupant que la tarification à l'activité s'inscrit dans une enveloppe financière globale nécessairement limitée.