a confirmé que celui-ci dépasse le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale stricto sensu : si elle était présentée devant le Parlement, la réforme du régime d'hospitalisation sans consentement serait en effet examinée au fond par la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République, au titre de la protection des libertés publiques.