Dans l'agglomération bordelaise, il est très difficile pour les étudiants de trouver des logements décents, avec un loyer raisonnable, car nous souffrons d'un manque cruel d'hébergements. Cela pèse sur leur budget de manière conséquente. Les APL les soulagent, mais les charges sont quelquefois très importantes. Sur l'accès au foncier public, vous avez appelé à la simplification des montages juridiques avec les bailleurs sociaux. Vous avez également dit que les modalités de financement des PLS étaient devenues trop complexes. Pouvez-vous nous donner des précisions ? Enfin, aucun d'entre vous n'a répondu à cette question : où en est-on de la programmation des 60 000 logements étudiants prévus, et des 10 000 qui devaient être en cours cette année ?