a précisé à Mme Gisèle Printz que la soumission à la concurrence de l'Afpa ne devait être attribuée qu'à la volonté politique de décentraliser la formation professionnelle, même si le contexte qui en résulte ne peut qu'aboutir à améliorer la qualité de la gestion de l'Afpa, M. Bernard Gentric rappelant, dans cette perspective, l'existence du « programme fonction support », engagé depuis 2005.