a d'abord rappelé que d'excellentes formations coexistaient avec d'autres, véritablement inadaptées aux besoins, le critère quantitatif prévalant parfois sur l'aspect qualitatif. Puis il a souligné qu'il fallait anticiper sur les changements de métiers, désormais plus fréquents, et accompagner les progressions de carrière, tout en reconnaissant la nécessité d'une action prioritaire en faveur des personnes les moins qualifiées. Partageant le souhait de développer les formations conduisant à une certification, il a fait observer que certains jeunes, peu à leur aise dans les études, se révélaient dans le milieu de l'entreprise et qu'il fallait en conséquence proposer des parcours qualifiants à ces jeunes.