Ce sont souvent des organisations de bric et de broc. Trois ou quatre personnes : un pharmacien, un employé d'hôpital, un intermédiaire, parfois un coureur ou ancien coureur. Croyez-moi, ce n'est pas la mafia, plutôt des pieds nickelés. Au sein du Tour de France, nous savions ce qui se passait. Nous appelions cela « radio peloton ».