Sur les modélisations et les emplois facilement reconvertibles, nous avons réalisé certaines analyses dans le cadre de l'accord de Paris. Nous vous ferons suivre nos données.
En revanche, nous n'avons pas d'éléments sur la France spécifiquement. Nous partons souvent de données globales, comme dans notre rapport de 2018. Nous lançons des analyses en fonction de la demande des membres de l'OIT et des moyens que nous recevons, mais, à ma connaissance, il n'y en a pas eu pour la France.
Sur l'accompagnement anticipé, il s'agit d'aller au-devant des mesures de fermeture ou de restructuration et d'accompagner les travailleurs et les entreprises au plus tôt. C'est tout l'intérêt des politiques centrées sur les compétences, pour anticiper le plus possible les changements.
Sur le réseau GAIN, il n'y a pas d'institution française impliquée. Toutefois, il reste ouvert et des chercheurs et institutions français peuvent le rejoindre s'ils sont intéressés. Il y a donc peu de démarches avec la France, même si nous avons eu des contacts avec le monde académique et de la recherche en France.
Sur l'agriculture, nous étudions bien ce secteur, qui prend de l'ampleur dans nos travaux, tout comme les questions de pollution au-delà des GES, notamment la biodiversité. Nous avons rédigé un rapport commun avec le World Wildlife Fund (WWF) sur ces questions.