Je rejoins totalement le constat de M. Thélot. Nous pensons que l'expérimentation, quelle qu'elle soit, ne pourra progresser qu'en remettant à plat la mission fondamentale de l'école et en s'interrogeant sur les programmes. Le temps de l'expérimentation peut en effet être préjudiciable à celui de l'enseignement, en raison de la lourdeur des programmes scolaires. Certaines équipes enseignantes nous font part de leurs réticences par rapport à ce qu'exigent d'eux les programmes nationaux.