Il y a des conventions d'insertion professionnelle, passées entre l'État, l'employeur et le sportif de haut niveau, au travers desquelles l'État complète le salaire pour un temps partiel qui peut aller entre 20 % et 50 % du temps plein. Des fédérations sportives ont également des partenariats pour l'accueil de sportifs de haut niveau, par exemple avec les Douanes, l'armée, la police nationale - mais le nombre de places diminue constamment. Il y a, enfin, de grandes entreprises qui participent à ce type d'action, par exemple EDF. Il faut compter aussi avec le parcours de vie des femmes, qui veulent souvent devenir mères, à un âge où leur carrière sportive n'est pas toujours terminée, et qui ne reprennent pas ensuite.