Nous y travaillons avec le ministère. Cependant, lorsqu'on a parlé d'une parité pour 2017 dans le Comité national olympique, les fédérations ont protesté et demandé fermement que l'échéance soit repoussée à 2024 : il n'y a aujourd'hui que 13,5 % de femmes parmi les présidents de fédérations.
C'est pourquoi nous conduisons des sensibilisations et des formations, en particulier un module « Réussir au féminin et oser s'engager » : une difficulté vient de ce que les femmes osent moins, se projettent moins que les hommes dans les postes à responsabilité ou de direction. Nous pouvons, j'en suis convaincue, faire changer les choses - et cela vaut pour la société tout entière. Nous informons également sur les plans de féminisation, qui sont portés à la connaissance des collectivités locales.