C'est effectivement ce qui est apparu dans les auditions que nous avions menées pour la rédaction de notre rapport. En outre, les emplois du temps étant très contraints, et pour peu que les chefs d'établissement ou les professeurs n'aient pas de vécu associatif, la question du bénévolat « passe à la trappe » : on ne fait bien que ce qu'on a l'habitude de faire. Il convient donc d'outiller les personnels de l'Éducation nationale. Il est plus naturel et plus efficace de demander à une personne déjà engagée d'apporter son témoignage, plutôt que de demander à un professeur de recréer un parcours d'engagement.