Un parallèle peut-il être établi avec les recommandations de certains grands acteurs et des services étatiques, en matière de cybersécurité, sur le partage des informations ? Ainsi, en cas d'attaque subie, il n'est pas utile de le cacher, mais au contraire il est nécessaire de partager ce qui s'est passé, afin de résoudre collectivement le problème et ne pas être « en silo ». Est-ce la même logique en matière de contrôle de la qualité de l'information ?