J'entends la répartition que vous proposez entre l'État et les régions, mais je trouve qu'un seul ordonnateur semble plus logique, avec l'État, pour décliner ensuite dans les départements. Il sera sinon difficile d'atteindre l'objectif de simplification, alors que les agriculteurs demandent de la simplification et une diminution des contrôles.
Le verdissement n'induit-il pas plus de difficultés pour la consommation des fonds ?
Dans la prospective sur la politique agricole commune, avec une mise en oeuvre qui reviendrait davantage au niveau national, avec vingt-sept politiques agricoles différentes, ne craignez-vous pas que des différences soient créées, notamment entre le premier et le deuxième pilier ?