a jugé indispensable de résoudre le problème des « zones d'ombre » en mutualisant les moyens disponibles en vue de répondre aux besoins identifiés sur un territoire. Elle a estimé que le rôle de « chef de file » pouvait être tenu par les régions, en expliquant que ce rôle ne consisterait pas à déposséder les autres acteurs de leur propre compétence, mais permettrait en revanche de faciliter le financement de formations qualifiantes pour les titulaires du RMI. Regrettant que les jeunes de seize ans dépourvus de qualification ne soient pas obligatoirement dirigés vers la mission locale, elle a enfin demandé ce qui pourrait être imaginé pour corriger cette situation.