a rappelé que le modèle français de mobilité sociale reposait presque exclusivement sur le diplôme acquis en formation initiale. Evoquant la difficulté de mesurer les inégalités d'accès à la formation continue, elle a cependant souligné que les disparités entre branches professionnelles étaient plus accentuées en France que dans le reste de l'Europe et que les salariés les moins formés étaient également les moins demandeurs de formation.
Elle a conclu son propos en indiquant que la particularité du congé individuel de formation résidait notamment dans son « universalité », tandis que, dans les autres pays, les dispositifs comparables tendent à être réservés à ceux dont le niveau de formation est le moins élevé.