a alors souligné la logique statutaire du système français. Dans une première étape, les jeunes sont formés sous l'autorité de l'Etat. Adultes et salariés, ils dépendent de l'entreprise pour leur formation continue, de l'Etat et des collectivités territoriales intervenant pour remédier aux accidents de la vie professionnelle.
Il a évoqué les avantages de ce système, une certaine forme de clarté, et ses inconvénients, notamment une abondance de dispositifs débouchant sur la tentative récurrente de mettre en place des « guichets uniques ».