a estimé que la vraie reconnaissance de la formation et de la qualification résidait dans le niveau du salaire. Si certains secteurs ont déjà fait des efforts, il appartient aux partenaires sociaux de réactiver la négociation salariale.
Par ailleurs, il a suggéré de favoriser la mobilité professionnelle des salariés en accompagnant ceux qui prennent le risque de démissionner pour s'engager dans un nouveau projet professionnel. Faisant observer que cette aide était prise en charge par l'assurance chômage dans d'autres pays, il a souligné que la faible mobilité professionnelle des salariés de plus de trente ans, en France, contribuait à rigidifier le marché du travail.
Un large débat s'est ensuite engagé.