a indiqué que les appels d'offres s'effectuaient au cas par cas, métier par métier, et qu'on faisait en sorte que l'offre s'adapte aux chômeurs concernés localement.
Sur les prises en charge au profit de l'entreprise, après avoir rappelé les durées maximum d'indemnisation du chômage, M. Jean-Paul Domergue a répondu qu'elles se faisaient au prorata du salaire, à hauteur de 40 % la première année, 30 % la seconde et 20 % la troisième.
Il a noté l'existence d'un effet d'aubaine au profit des entreprises qui auraient de toute façon embauché, et la relative sous-consommation des crédits dégagés (83 %).