Répondant à une question de M. Jean-François Humbert sur l'évaluation des formations des chômeurs, M. Jean-Pierre Revoil s'est appuyé sur le cas du dispositif Pare (plan d'aide au retour à l'emploi) de juillet 2001 pour souligner la difficulté d'évaluer le taux de reclassement des chômeurs compte tenu de l'influence prépondérante des fluctuations de la conjoncture économique. Il a aussi évoqué la difficulté d'intégrer dans les calculs les allers et retours sur le marché du travail (35 % des allocataires travaillent en activité réduite).