En juillet 1999, j'ai quitté la pharmacovigilance pour prendre en charge la coordination des vigilances.
Pendant une partie de mon exercice professionnel à l'Agence, je suis passée en deuxième position.
Fin 1998, deux démarches parallèles se déroulaient. L'une, conduite en France, concernait spécifiquement le produit ; l'autre, qui avait démarré en septembre 1998, était consécutive à la lettre envoyée par le professeur Garattini, suggérant d'inclure ce produit dans l'évaluation conduite à l'initiative de la Commission européenne sur les liens entre anorexigènes et valvulopathies.