Sur la réorganisation des fonctions-support : on a vu ce que cela donnait dans les préfectures.
Aujourd'hui, il faut regrouper les forces restantes pour travailler efficacement.
La question est : où est la place de la PJJ ? Et à côté, le rôle des associations ? Ce débat est toujours là !
A Mayotte, où je me suis rendue en mission, quelles sont les forces de la PJJ ? Ne doit-on pas là-bas utiliser des moyens forts pour une jeunesse en grande difficulté ?