Je n'ai aucune difficulté avec les fédérations françaises.
Je n'ai par ailleurs jamais subi de pressions du ministère.
Je suis personnellement protégé par la loi, mais les pressions sur le président ou le secrétaire général existaient.
Quand j'ai décidé d'aller contrôler Lance Armstrong, j'ai recueilli l'avis de tous les juristes de l'Agence, mais jamais personne ne m'a demandé de ne pas le contrôler.