a affirmé que le PRDF était un outil intéressant car il confronte les différents acteurs du système, mais qu'il reste assez théorique. Or sa mise en oeuvre est difficile, d'une part parce que les branches professionnelles ne sont pas toujours en capacité d'exprimer leurs besoins et de signer des contrats d'objectifs, donc « de former juste », d'autre part en raison de la résistance de l'appareil de formation, notamment de l'éducation nationale, avec des rectorats qui ont leurs contraintes propres. Il s'est demandé si le PRDF ne devrait pas devenir prescriptif.
Pour conclure, M. Jean-Paul Carle s'est dit convaincu que le PRDF était un outil passionnant qui avait pu faire avancer les choses dans la région Rhône-Alpes.
a insisté sur le fait qu'alors qu'il existe une évaluation faite régulièrement sur les prestations de formation, celle-ci est défaillante en ce qui concerne les politiques de formation. Il faudrait aller plus loin et prendre en compte l'impact des formations sur la situation économique.