a rappelé l'esprit de la loi dite « Delors », qui a permis à toute personne susceptible de mettre ses compétences à la disposition des stagiaires de devenir opérateur de formation ; il a précisé que la régulation résultait de la performance des organismes et de l'appréciation des acheteurs. Il a observé que si l'on peut recenser au total 45 000 organismes déclarés seuls 4 000, voire 1 000 opérateurs, ont une véritable réalité économique et un chiffre d'affaires important. Il s'est déclaré défavorable, en conséquence, à la mise en place d'un numerus clausus de nature à limiter la liberté d'accès.
Puis il a signalé qu'un fonds de garantie, mis en place au sein de la fédération, prend en charge certaines défaillances financières et a estimé que la transposition d'un tel mécanisme à l'ensemble de la profession constituerait une garantie financière pour les acheteurs de formation.