J'ai appris, en regardant les travaux du Parlement et en échangeant avec la sénatrice Kimberley Kitching, que certains représentants de minorités étrangères n'osaient pas s'exprimer, témoigner, par peur de rétorsion, sur leurs familles, par leur pays d'origine. Cela fait-il partie des pressions qui existent ? Là aussi, des organisations et populations extra-australiennes pèsent-elles sur des étudiants, les populations, les enseignants ou les gens d'origine du pays concerné ? Est-ce d'un niveau élevé ou acceptable dans une démocratie comme la vôtre ?