Oui. Certains malades supportent mal tel principe actif et doivent changer de me too. Il ne faut toutefois pas pour autant de concurrence entre les me too. Le fait de disposer de plusieurs classes d'antibiotiques est positif, mais il faut les utiliser avec parcimonie. Il faut également veiller à ne pas arrêter le développement de nouveaux antibiotiques. Nous sommes impatients de disposer d'une nouvelle génération d'antibiotiques, ce qui ne signifie pas que son usage doive être disséminé.