a indiqué que les observations de la Miviludes concernant le secteur de la formation professionnelle étaient essentiellement fondées sur les plaintes ou signalements faits généralement par les familles des victimes soit directement auprès de la mission interministérielle, soit auprès des associations de défense des victimes, soit encore par l'intermédiaire d'élus locaux. Au niveau des entreprises, les signalements proviennent aussi des syndicats, car le sujet fait l'objet d'un parfait consensus entre les partenaires sociaux, dans la mesure où il s'agit de la défense des individus, de leur liberté et de leur dignité. Ceci justifie d'ailleurs pleinement l'intervention de l'Etat et du Parlement.