Je ne veux pas présager de l'avenir, mais je tiens à souligner que BNP Paribas dispose aujourd'hui d'un système de surveillance qui couvre quatre-vingt-treize pays dans le monde : son champ est donc très large. La liste de ces pays est revue chaque année. Il est exclu que nous créions quelque structure nouvelle que ce soit dans l'un d'entre eux sans que la direction de la sécurité financière du groupe ne donne son autorisation. Cela ne signifie pas que nous sommes totalement absents de ces pays, mais le processus de décision est complètement centralisé. Nous avons la volonté et les moyens de mener une telle action, c'est pourquoi le dispositif se réduit avec le temps.