C'est une piste très intéressante. Dans un autre cadre, j'ai eu l'occasion de m'entretenir des questions d'irrigation avec le ministre marocain de l'eau. Son pays est assez en avance en la matière. Peut-être pourrions-nous auditionner en visioconférence un certain nombre de responsables étrangers.
Christophe Béchu relevait, quant à lui, la nécessité d'envisager un scénario de hausse des températures de l'ordre de 4 degrés. Il faudra aussi travailler dans cette perspective, qui implique un changement d'échelle.