Je le répète, nous sommes focalisés sur les catastrophes du passé qui encombrent l'approche que l'on peut avoir de la protection et amènent à penser en termes d'évacuation.
Par ailleurs, le risque constitue une scorie d'un territoire qui se surajoute aux autres éléments. On fait fausse route si l'on considère que le risque ne fait pas partie intégrante du territoire. On ne raisonne alors qu'en termes d'évacuation ; or, certaines personnes n'ont pas envie d'évacuer. Que fait-on dans ce cas ? Cela soulève des questions d'équité de traitement.