Les orientations dépendent actuellement de tel ou tel fonctionnaire. Cela n'est pas satisfaisant pour les élus des collectivités locales qui ne savent pas si les travaux qu'ils mettent en oeuvre permettront ou pas de sortir des zones de danger.
Se pose également le problème de la police de l'eau. La plupart des élus locaux sont remontés contre elle et notamment contre l'office national de l'eau et des milieux aquatiques (ONEMA), dont les positions ne sont pas toujours comprises. Que devons-nous en penser ?