Lorsque je travaillais sur les logements résilients, j'avais rencontré le ministre Benoist Apparu pour évoquer la construction d'éco-quartiers. Alors que le ministère ne s'était aperçu de rien, j'avais constaté que les deux tiers des éco-quartiers étaient construits en zones inondables. Il est extrêmement important qu'une culture du risque soit acquise à tous les niveaux, afin que des précautions soient systématiquement prises. Ce sera déjà un grand pas. Notre travail est positif dans la mesure où il permet de faire évoluer la situation, mais beaucoup de chemin reste à parcourir pour résoudre les problèmes de gouvernance et financiers.