Personnellement, je fais remonter cette défiance à Tchernobyl. A l'époque, j'ai reçu des amis italiens. La communication de leur gouvernement - ce pays n'avait pas de centrales atomiques comme la France - était inverse de celle du gouvernement français. Ainsi, alors que nous nous apprêtions à manger des cerises, mon ami m'a indiqué qu'en Italie, ceci était fortement déconseillé.