C'est vrai. Les quartiers résilients existant aujourd'hui restent dans des logiques de réponses techniques. Les fonctions, la morphologie ou les espaces publics n'entrent pas dans les réflexions. Ces dernières pourraient même peut-être aller plus loin, en segmentant les populations afin de déterminer lesquelles seraient les mieux à même de vivre dans ces quartiers, par exemple des populations mobiles de préférence à des maisons de retraite.