À la décharge de l'administration, je dirai que c'est une mission complexe. Il y a un aspect économique. La demande d'opérateurs qui sont de tout premier plan - LVMH et autres -, rend tout cela compliqué.
Pour l'instant, la réponse qui est apportée consiste dans la mise en place de composteurs automatiques dans les aéroports. On craint en effet la corruption et il est vrai que certains dérapages ont été constatés.
On a donc vu arriver des composteurs, dénommés PABLO. La réponse est clairement insuffisante. De plus, j'ai assisté à leur déploiement, dans l'aéroport d'Orly. Les passagers vont au composteur, puis repartent. On n'a même pas eu l'intelligence de placer le composteur en zone internationale !