Il conviendrait d'autoriser le préfet, en cas de risque d'incendie sévère, à intervenir pour modifier les pratiques agricoles, notamment lors de la récolte : des machines moissonnent des centaines d'hectares, sans quadrillage particulier, sans protection par un outil à dent. Or les territoires du nord de la France sont désormais concernés par le développement d'incendies de végétations et de terres agricoles. On ne pourra pas faire l'économie d'une réflexion sur les pratiques agricoles.