C'est chronologiquement et individuellement variable. Pour moi, qui exerce à Tours, ce serait deux tiers d'esthétique, un tiers de réparation, notamment pour le cancer du sein. C'est assez représentatif de l'activité libérale en province. Dans les hôpitaux publics, la chirurgie réparatrice est sans doute plus développée, même si la chirurgie esthétique doit être enseignée pour former les futurs praticiens qui exerceront en libéral. Reste qu'il est difficile de fournir des chiffres précis.