En outre, ce serait la première spécialité à se situer en dehors de la nomenclature de la sécurité sociale. Il faut que chacun se borne à ce qu'il sait faire. Aux Etats-Unis, certains médecins estiment, sous la pression des patients et des laboratoires, pouvoir pratiquer de la chirurgie esthétique. Nous ne voulons pas de telles dérives en France, ni d'un retour au caractère sulfureux du chirurgien esthétique.