C'est la raison pour laquelle, dès mon arrivée à la direction de la CNAF, j'ai demandé une enquête sur les activités périscolaires concernées, pour voir très précisément comment les choses se passent ; nous voulons tenir la qualité et la sécurité de l'offre, tout en évitant une dérive financière par rapport à l'enveloppe de notre convention d'objectifs et de gestion. Il semble que le taux de recours par les parents soit plus fort que prévu : nous devons nous ajuster aux réalités. Le mouvement s'apprend en marchant.