– Je partage le point de vue selon lequel si les personnes sont moins malades, le système de protection sociale sera moins sollicité, et l’application du principe de double dividende dans le domaine alimentaire. Si on consomme moins de viande, on sera en meilleure santé, ce qui est positif pour l’environnement comme pour le pouvoir d’achat des ménages. Cependant, on n’est pas encore capable de chiffrer l’ampleur de ces effets. Le chantier est énorme.
De meilleures normes peuvent améliorer la santé. Il en est ainsi des acides gras, trop présents dans les aliments transformés. On manque cependant d’un travail de quantification.