La non-distinction entre produits interdits pendant les compétitions et ceux interdits hors compétition semble avoir caractérisé votre présidence. Cette non-distinction paraît un choix de bon. Quelles raisons l'AMA mettait-elle en avant pour la maintenir ?
D'autre part, estimez-vous qu'en France, on consacre suffisamment de moyens humains et financiers à la lutte contre le dopage ?
Enfin, à la lumière de vos deux années de présidence du CPLD, quelle est votre réaction par rapport à l'affaire Armstrong ? Avez-vous été surpris ou pensez-vous que c'était inscrit dans l'ordre des choses ?